Le Pantanal, petit paradis méconnu au BRÉSIL

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Le M.V. Peralta dispose de dix suites à la façade en verre, d’un jacuzzi sur le pont supérieur et de Zodiac pour des sorties d’explorations.

«Tout comme le Delta de l’Okavango au Botswana, chaque année, la plaine du Pantanal se voit inondée à 80 % par les cours d’eau de la région.»

Ce qui en fait la plus grande zone humide de la planète couvrant quelque 170,500 km2 et créant ainsi d’innombrables petites lagunes temporaires. Sauf que l’Okavango a la particularité de ne jamais rejoindre l’océan.

Ce paysage exceptionnel est enrichi par les contrastes de la flore rencontrée : des nénuphars géants poussant à proximité d’immenses cactus de milieux semi-arides. La diversité de la faune sauvage qu’on y retrouve n’est pas en reste : pas moins de 656 espèces d’oiseaux, 159 de mammifères, 325 de poissons, 98 de reptiles, 53 d’amphibiens et plus de 3,500 espèces de plantes. Les chances d’y observer le jaguar (en danger d’extinction) sont accrues - cet excellent nageur qui vit souvent près des rives du fleuve Paraguay. L’icône des lieux, le jabiru (échassier pouvant atteindre 1,5 m de hauteur), peut y être observée, ainsi que les loutres géantes et l’anaconda.

Jusqu’à ce jour, les infrastructures de transport étant limitées, il était difficile d’explorer cette région. Dorénavant, il est possible de voguer à travers les affluents du fleuve Paraguay sur le premier navire d’expédition de luxe de la région : le M.V. Peralta (dont l’architecture s’approche étrangement de l’ARIA AMAZON) qui dispose de 10 Suites à la façade en verre, d’un jacuzzi sur le pont supérieur et de Zodiac pour des sorties d’explorations de la plaine inondable.

À quel moment s’y rendre?

À la saison sèche, de juillet à octobre, lorsque les espèces se réunissent dans les lagunes formées après les inondations, notamment des caïmans en grande quantité.

Éco-responsable